Cuba: NOUVELLE INTOXICATION MEDIATIQUE: Fariñas, UN ANTISOCIAL ET UNE AUTRE GREVE!

Publié le par cubasifranceprovence

par Norelys Morales Aguilera

Le très récompensé Guillermo Fariñas dont le lecteur se souviendra comme d'un superman à cause de son record de grèves de la faim destinées à lui conserver le salaire que généreusement lui assignent ses amis terroristes considère comme une atrocité que certaine autorité cubaine essaie de convaincre une dame d'abandonner une grève de la faim qu'elle fait sans arguments. Ou, mieux, avec des arguments tordus soufflés par ceux qui la manipulent. La campagne dans laquelle s'engage à présent Fariñas concerne David Bustamante Rodriguez, une personne qu'ils essaient de transformer en "activiste" à cause de sa condition de gay atteint du VIH/SIDA qui évidemment ne proteste pas pour recevoir gratuitement les coûteux médicaments pour sa maladie.

Bustamante Rodriguez, dans une ville comme Santa Clara connue à Cuba pour le traitement décent et adéquat des personnes homosexuelles, a été recruté par Fariñas pour réaliser des actions publiques en créant des désordres et il est impossible qu'il puisse soutenir qu'il est persécuté à cause de son homosexualité.

A l'instigation de son mentor, il est monté sur la terrasse de sa maison pour créer du scandale en criant des grossièretés et des mots d'ordre. Cela, les propagandistes du groupe de Fariñas, l'appellent "une bagarre" qualifient les voisins de "foule castriste" et leur réponse d'attaque contre leurs propres voisins.

David Bustamante Rodriguez, avec la même méthode que son mentor Fariñas, est monté sur la terrasse de sa maison pour crier des grossièretés et des mots d'ordre à ses voisins, grossièretés qu'ils ne mettent pas sur une vidéo postée sur Youtube.

Dans l'événement auquel a participé Bustamante Rodriguez, les voisins ont appelé les autorités à cause de son attitude antisociale. Sur la photo que les manipulateurs n'ont pas publiée ni envoyée à Marti.com qui rend toujours compte de ces magouilles, on voit celui-ci essayer d'arracher son arme règlementaire à un policier qui est debout à côté d'une voiture de patrouille. La police "démocratique" de la monarchie espagnole donne des coups de pieds et frappe ceux qui protestent pour moins que ça, pour faire une comparaison.

Mais, en réalité, on ne voit sur la vidéo des compagnons de Fariñas rien des grossièretés et des provocations de Bustamante Rodriguez qui n'ont rien à voir avec sa respectable condition de gay. La réponse populaire est seulement constituée de mots d'ordre. Il n'y a aucune violence policière mais eux disent qu'il y en a et on doit les croire parce que la "dictature est répressive" même s'il n'y a pas de preuves.

Et l'histoire continue quand la mère de David, Sandra Rodriguez, 46 ans, se déclare en grève de la faim! parce qu'il n'a pas été incarcéré dans une prison mais dans un sanatorium pour les patients atteints du VIH/SIDA!

Cette dame, mère de 2 autres enfants, José Luis Martinez Rodriguez, 14 ans et Esteban Perez Rodriguez, 10 ans, laisse ces deux-là seuls pour accomplir une telle "protestation" à la demande du "psychologue" Guillermo Fariñas, qui a indiqué dans un twitt qu'il était aberrant qu'un négociateur de la police l'invite à laisser tomber sa position injustifiée de chantage envers les autorités.

David ne proteste pas pour recevoir les coûteux médicaments dont il a besoin gratuitement, la "mère dévouée fait savoir au monde" que ces événements se sont produits quand son fils Esteban avait aussi besoin de soins, ce pourquoi il est allé dans une école spéciale et vous devez savoir combien cela coûte dans un autre pays et qu'ici, elle ne le prend pas en considération. En racontant cette histoire, j'expose seulement les faits. La dame doit savoir pourquoi elle le fait.

Mais les manigances de Guillermo Fariñas qui applique ses méthodes de violent converti en "pacifiste" en manipulant et en mentant pour résoudre opportunément en sa faveur des situations étrangères à toute idéologie politique de bonne volonté ou de convivialité citoyenne sont évidentes.

Et Fariñas l'a dit: " L'idée est d'agir pour que les gens nous perçoivent comme leurs défenseurs". Il semble qu'une fois de plus, cela fait l'effet inverse.

samedi, 21 juin 2014

(Resumen latinoamericano y del Tercer Mundo

traduction Françoise Lopez)