Venezuela: Communiqué de la Vice-présidence de la Souveraineté Politique, de la Sécurité et de la Paix
traduction Françoise Lopez
La République Bolivarienne du Venezuela exprime son plus profond rejet de la politique extérieure états-unienne qui, à travers un terrorisme judiciaire et policier de a part de ses agences nationales et par des campagnes médiatiques mondiales persécute, menace et contraint l'armée du pouvoir public vénézuélien.
L'agence Reuters a diffusé la soi-disant ouverture d'une enquête pénale contre l'un des plus hauts fonctionnaires de la République, le commandant de la Garde Nationale Bolivarienne, le major général Néstor Reverol Torres dont la responsabilité est justement le contrôle anti-drogues par des actions dont le succès a été notable.
Sous la gestion de ce haut fonctionnaire vénézuélien, on a atteint les plus fortes réussites en matière de contrôle et de prévention du néfaste trafic des drogues illicites.
L'usage habile et de double norme que les agences états-uniennes font d'un thème largement sensible n'est pas un secret pour la communauté internationale. Ces agences, sous la prétendue lutte contre le trafic de drogues déguisée en soutien à la santé, déploient des actions interventionnistes qui violent les souverainetés nationales.
Le Venezuela est un pays reconnu par les agences spécialisées des Nations Unies et les agences reconnues dans la prévention et le combat de ce délit transnational. Cependant, il n'est jamais tombé dans la culture et la production de drogues, une chose que les Etats-Unis d'Amérique pourraient difficilement affirmer avec une morale soutenue, les Etats-Unis d'Amérique qui, au lieu de réduire le délit l'ont fait augmenter dangereusement dans le monde entier jusqu'à des niveaux scandaleux comme le démontre le cas de l’Afghanistan qui, pendant ces 10 années d'invasion états-unienne, de 10% de l'opium en est arrivé à en produire illicitement 90%.
La République Bolivarienne du Venezuela exige du Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique qu'il ajuste ses façons d'agir aux lois internationales en évitant des manipulations qui obéissent certainement à des intérêts subalternes éloignés de la réponse juridique correcte et sûre contre le crime".
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