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Bolivie: Les canonnières des Etats-Unis et de la droite intensifient leurs attaques contre la Bolivie.
Par: Patricio Montesinos (Cubadebate 18 janvier 2016 )
traduction Françoise Lopez
La Bolivie n'a pas cessé d'être la cible des canonnières des Etats-Unis et de la droite nationale, régionale et internationale après l'arrivée au pouvoir du président Evo Morales mais ces dernières semaines, le feu de l'adversaire s'est fait de plus en plus intense contre ce pays des Andes.
Les attaques concentrées de Washington, de l'oligarchie et de la "grande" presse conservatrice latino-américaine et mondiale sont destinées à empêcher qu'au Referendum qui doit avoir lieu en février prochain dans la Pachamama (Terre Mère), triomphe un Oui pour une nouvelle élection de Morales aux élections de décembre 2019.
Les autorités de La Paz ont révélé, avec des preuves concrètes, l'action de la droite dans cette nation sud-américaine, ses conspirations et ses plans financés depuis les Etats-Unis qui ont pour but d'empêcher que l'actuel chef de l'Etat puisse postuler pour un autre mandat.
Le président lui-même a dénoncé le fait que le gouvernement nord-américain paie la campagne pour le Non au Referendum et les formation politiques morcelées de l'opposition et leurs chefs de file se battent pour les importantes sommes d'argent offertes par Washington.
Parallèlement, la presse nationale conservatrice, toujours accompagnée par celle d'Amérique Latine et d'Europe, organisent des campagnes médiatiques pour souiller le processus de Changement que conduit celui qu'on appelle Evo le Champion qui, avec le soutien de la majorité de son peuple, a réussi en seulement 10 ans, à transformer la Bolivie en l'un des meilleurs pays de al Grande Patrie en ce qui concerne le développement économique et social après avoir été auparavant, sous les régimes néo-libéraux, le second plus pauvre de la région.
En réponse aux offensives des canonnières ennemies, le vice-président Álvaro García Linera a assuré que ses compatriotes sont prêts à supporter ces attaques de l'extrême droite qui cherchent à déprécier la gestion de Morales pendant son chemin vers la réélection.
García Linera a considéré que "l'éventuel recul politique de al gauche au Venezuela et en Argentina n'influera pas sur le Referendum parce qu'à la différence de ces nations, la Bolivie a une position différente sur certains sujets face à l'opposition".
Evidemment, les Etats-Unis et l'oligarchie d'Amérique Latine enhardie cherchent à tout prix que le Oui soit vaincu lors de la prochaine consultation populaire dans la Pachamama non seulement pour affaiblir son processus de transformations réussi mais aussi pour éteindre l'intégration et l'unité de la Grande Patrie.
Le Grand Chef Indien Latino-américain, comme on appelle aussi beaucoup Evo dans e monde, est un leader international et une épine plantée dans la gosier de Washington, opposée aux intérêts hégémoniques de l'empire dans Notre Amérique.
Après les victoires de la droite aux élections présidentielles d'Argentina et aux législatives au Venezuela, la Maison Blanche et le Pentagone se frottent les mains et cherchent à faire de la Bolivie sa prochaine prise. Alors, ils continuent leurs plans de déstabilisation et de subversion contre le gouvernement de Nicolás Maduro, et ceux de Rafael Correa, en
Equateur, et de Dilma Rousseff, au Brésil.
Le sinistre projet des Etats-Unis est bien clair: arriver à détrôner tous les exécutifs progressistes et, sans aucun obstacle, récupérer la domination qu'il avait perdue en Amérique Latine qu'ils continuent de considérer comme leur arrière-cour.
Source en espagnol:
http://www.cubadebate.cu/?p=688945#.Vp33I4RQkRE
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