Venezuela: Vicente Rangel CONDAMNE LES POSITIONS DE L'ONU CONTRE LE Venezuela

Publié le par cubasifranceprovence

traduction Françoise Lopez

Le vice-ministre de la Politique Intérieure et de la Sécurité Juridique du Venezuela, José vicente Rangel Avalos a condamné aujourd'hui la position partiale contre son pays du Comité contre la torture de l'Organisation des Nations Unies (ONU).

Dans des déclarations à la chaîne privée Televen, le fonctionnaire a expliqué qu'à la 53° période de sessions de cette organisation, à Genève, le Venezuela a assuré que la Révolution Bolivarienne a rompu avec l'Etat terroriste et répressif supporté jusqu'en 1999.

Rangel Avalos a critiqué, cependant, le fait de s'être trouvé face à un Comité avec des positions tendancieuses et qui a insisté sur plus de 180 questions sur de soi-disant violations des droits de l'homme, une réaction influencée par des représentants d'Organisations Non Gouvernementales opposées au processus de changement que conduit le président Nicolas Maduro.

De même, il a rappelé qu'avant que le peuple n'élise le défunt président Hugo Chavez, au Venezuela, la torture était une institution et l'assassinat politique était fréquent.

Pendant l'un des mandats de la IV° République (1958-1998), parmi les corps de sécurité, la phrase "Tirer d'abord et vérifier ensuite" était à la mode, en même temps qu'il signalait qu'au contraire, maintenant, le Venezuela a un etat démocratique et social de droit et de justice.

Il a aussi précisé que le pays sud-américain est irrévocablement libre et indépendant et construit son patrimoine moral sur les valeurs de liberté, d'égalité, de justice et de paix internationale.

Quand nous expliquons avec des arguments la réaction du peuple et de ses autorités face aux manifestations violentes de l'opposition (guarimbas), de février dernier, nous constatons une position destinée à discréditer la Révolution Bolivarienne.

Pour Rangel Avalos, contre le Venezuela se poursuit la même formule appliquée par l'empire dans d'autres nations pour obtenir la déstabilisation intérieure et ensuite provoquer des interventions militaires étrangères.

Par contre, a-t-il ajouté, les Vénézuéliens jouissent comme jamais auparavant dans l'histoire de plus larges libertés démocratiques, avec une réduction de la pauvreté et des inégalités qui est reconnue par différents organismes de l'ONU.

L'Etat vénézuélien garantit et même encourage la participation du peuple aux manifestations pacifiques, a souligné Rangel Avelo en même temps qu'il signalait que des secteurs violents de la droite qualifiaient de pacifiques des actes terroristes comme ceux de février dernier qui ont fait 43 morts.

(Avec des informations de Prensa Latina)

source en espagnol:

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