LE BLOCUS

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RAPPORTS DE CUBA SUR LE BLOCUS OU AUX

VOTES A L'ONU SUR LA NECESSITE DE LEVER LE BLOCUS DE CUBA

 

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Les Etats-Unis frappent d’une amende une banque pour ses relations avec Cuba

Par Tania Hernández

Washington, 1er décembre, (RHC)- Le Bureau de Contrôle d’Actifs à l’Etranger (OFAC) du Département du Trésor des Etats-Unis a sanctionné une autre banque étrangère pour ses relations d’affaires avec Cuba. Cette mesure entre dans le cadre du blocus étasunien contre notre pays.

Dans une notification présentée sur la page web du Département du Trésor, l’OFAC a fait savoir qu’une succursale new-yorkaise de la banque allemande Commerzbank a été frappée d’une amende de 175 000 dollars pour avoir appuyé des transactions qui violent le siège financier imposé par Washington contre notre pays.

Le gouvernement étasunien indique qu’en septembre 2005, la Commerzbank, la seconde banque d’Allemagne a agi comme intermédiaire consultant dans une affaire entre une entreprise cubaine et une autre canadienne et ensuite elle n’a pas diffusé volontairement cette opération.

Selon la notification de l’OFAC, ce fait constitue un cas notoire de violation des normatives décrétées par les Etats-Unis. Elle ajoute que la  Commerzbank doit être consciente des thèmes interdits dans le cas de Cuba pour que de telles infractions ne se répètent pas à l’avenir.

Auparavant, la banque JPMorgan Chase a dû payer une amende de 88,3 millions de dollars pour de présumées violations des lois institués par la Maison Blanche pour des traités avec Cuba.

Le Département du Trésor a alors affirmé que la JPMorgan a effectué 1 711 transferts qui impliquaient des personnes physiques ou juridiques cubaines pour une valeur frôlant 176 millions de dollars.

 

 

  L’opposition au blocus grandit parmi les Cubains résidant aux Etats-Unis.

 

Par Reynaldo Henquen

Miami, 13 octobre, (RHC) – 61% des Cubains résidant aux Etats-Unis s’opposent au retour des fortes restrictions qui étaient en vigueur contre Cuba en 2004 sous l’administration Bush.

Selon un sondage du Département d’Études Globaux de l’Université de Floride (FIU) et du Cuban Research Institute (CRI), 58% des Cubains interrogés appuient un rétablissement des relations entre Washington et La Havane.

53% des personnes faisant partie de l’échantillon choisi a estimé que le blocus économique, commercial et financier que les Etats-Unis maintiennent contre Cuba depuis plus de 50 ans déjà est inefficace.

Le sondage dont les résultats ont été diffusés cette semaine révèlent également  que l’opposition aux restrictions de l’ère Bush est plus grande -76%- parmi les personnes qui sont arrivées aux Etats-Unis après 1994.

Des analystes politiques soulignent que les données révélées par cette étude contredisent des affirmations du congressiste cubano-américain, Mario Díaz-Balart, qui prétend que la majorité des Cubains résidant aux Etats-Unis appuie sa proposition de renforcer le blocus de Cuba.

Mario Díaz-Balart et d’autres élus liés à l’extrême droite cubano-américaine ont présenté des projets pour que la Maison-Blanche élimine l’assouplissement des restrictions sur les visites et les envois d’argent à Cuba.

Une autre congressiste d’origine cubaine, Ileana Ros-Lehtinen, Présidente du Comité des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants, a demandé au Président Barack Obama d’empêcher de présumées violations des lois sur le tourisme à Cuba.

Le sondage en question a également révélé que 48% des personnes interrogées sont favorables à ce que des compagnies étasuniennes vendent des médicaments et des aliments à notre pays.

 

 

Le blocus des Etats-Unis frappe de plein fouet l’Union des Imprimeries

Par Reynaldo Henquen

La Havane, 13 octobre, (RHC).- L’Union des Imprimeries de Cuba a subi des pertes dépassant 1 600 000 dollars à cause du blocus que les Etats-Unis font subir à notre pays depuis plus de 50 ans déjà.

Cette entité, formée de 28 entreprises, imprime des livres, des brochures, des journaux, des étiquettes et des cartons.

Si l’Union pouvait disposer de cette somme, elle pourrait fabriquer quelque 9 millions de cahiers scolaires d’une qualité optimale ce qui représente près de 21% des besoins du pays pour l’actuelle année scolaire.

Les pertes économiques provoquées par le blocus au peuple cubain ont dépassé, jusqu’à décembre 2010, à des prix courants, 104 milliards de dollars comme le signale le rapport de Cuba de 2011 contre le blocus.

Si l’on tient compte de la dévaluation du dollar face à la valeur de l’or sur le marché financier international, qui a été très importante durant 2010, les dégâts causés à l’économie cubaine dépassent 975 milliards de dollars.

 

 

Le blocus étasunien affecte la lutte contre le sida à Cuba

Par Reynaldo Henquen

La Havane, 12 octobre (RHC) – Le blocus économique, commercial et financer des Etats-Unis contre Cuba limite la coopération entre notre pays et les organismes internationaux de lutte contre le VIH/sida, a indiqué le journal Granma.

En janvier 2011, les Etats-Unis ont mis la main sur 4 207 000 dollars du Fonds Mondial de lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et la malaria, destinés à des projets de coopération avec Cuba pour combattre le SIDA et la tuberculose. Les Etats-Unis ont ainsi empêché que soient correctement menés trois projets ayant des effets notables sur les patients, signale un rapport sur la résolution 65/6 de l’Assemblée Générale des Nations Unies, intitulé « Nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les Etats-Unis contre Cuba ».

Cet acte est d’autant plus grave qu’il concerne des fonds destinés à la prévention et au traitement de personnes séropositives et atteintes de tuberculose, et qu’il freine l’achat de médicament anti-rétroviraux nécessaires à ces malades.

Cuba a fermement condamné cet acte illégal, mais les Etats-Unis et Barack Obama à leur tête maintiennent toujours leur politique hostile à notre pays.

 

 

TRES BON ACCUEIL DU RAPPORT DE CUBA CONTRE LE BLOCUS. 

 

Paris, 6 octobre 2011 – Les ambassades de Cuba en France et devant l'UNESCO ont présenté le Rapport sur la Résolution 65/6 de l'Assemblée Générale des Nations Unies (ONU) où leur pays demande qu'il soit mis fin au blocus imposé par les Etats-Unis.

 

En présence de diplomates du monde entier, de représentants de partis politiques, d'entreprises françaises, d'intellectuels, de journalistes et de groupes de solidarité avec l'Ile, les chefs des missions cubaines ont expliqué le texte.

 

Ce projet de résolution intitulé « Nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les Etats-Unis » sera présenté à l'Assemblée de l'ONU le 25 octobre prochain.

 

L'Ambassadeur  de Cuba en France, Orlando Requeijo, a exposé les points essentiels du document dans lequel on dénonce la manière dont l'étau nord-américain viole le droit international et constitue une agression contre le droit à la paix, au développement et à la sécurité d'un peuple souverain.

 

En illustrant la manière dont l'application extra-territoriale du blocus  a des retombées  directes en France, Requeijo a cité une amende de 374 000 dollars imposée le 18 août de cette année à la compagnie française de navigation CGACGM pour avoir prêté des services à Cuba.

 

De même, il a mentionné l'usurpation de  marque de Bacardi contre le légitime rhum cubain Havana Club, commercialisé par le géant français Pernod Ricard.

 

Egalement, le refus de la Banque Postale de transférer de l'argent vers la plus grande des Antilles, en accord avec une directive gouvernementale, selon le témoignage d'un citoyen français qui en a été victime.

 

De son côté, l'Ambassadrice de Cuba devant l'UNESCO, Maria de los Angeles Florez, a raconté les différents préjudices provoqués par le blocus en ce qui concerne l'éducation, la culture, le sport, entre autres.

 

Le fondateur du service spécial de Radio France International, l'écrivain Ramon Chao était présent , il a présenté le livre « Etat de siège : les sanctions économiques des Etats-Unis contre Cuba » du professeur Salim Lamrani.

 

Ce dernier décrit la trajectoire du blocus appliqué peu après le triomphe de la Révolution Cubaine, son impact et le caractère extra-territorial s'intensifiant après l'approbation des lois Torricelli en 1992 et Helms-Burton en 1996.

 

Etaient présents à cette rencontre, des diplomates de l'Equateur, de la Bolivie, du Venezuela, du Mexique, de la République Dominicaine, du Guatemala, du Pérou, du Honduras, du Vietnam, de la Malaisie, de l'Afrique du Sud, du Qatar et de la Namibie, entre autres. (Prensa Latina)

 

Traduction : Gaston Lopez

 

 

 

Le blocus a un fort impact sur le secteur forestier.

Par Reynaldo Henquen

La Havane, 11 octobre, (RHC)- Le secteur forestiers est un des plus touchés par le blocus injuste que les Etats-Unis font subir à notre pays depuis plus de 50 ans déjà.

Dans des déclarations qu’a faites à la presse l’ingénieur forestier Jorge Arias, il a indiqué :

“Par le simple fait d’influer sur une entreprise étrangère afin qu’elle ne vende rien  à Cuba car plus de 10% des composantes de nos équipements sont fabriqués sous brevets appartenant aux Etats-Unis ou en faisant pression pour éviter que les ventes se concrétisent. Cela inclut tant les tâches de sciage que de séchage artificiel du bois, que l’activité de préservation, que la production de n’importe quel dérivé du bois. Tout cela correspond à la production industrielle qui est très touchée par le blocus.

Mais, en d’autres occasions, nous avons eu des problèmes  avec plusieurs activités du secteur non industriel. Cuba a parfois essayé d’importer des semailles, par exemple de génotype ou d’une variété spécifique et là nous nous sommes heurtés aux barrières que dresse le blocus et le commerce global ».

 

Les Etats-Unis intensifient leur persécution commerciale contre Cuba

Par Reynaldo Henquen

 La Havane, 6 octobre (RHC) – Les autorités du Bureau de Contrôle des Biens Etrangers du gouvernement des Etats-Unis ont infligé une amende à l’entreprise nord-américaine Flouserf Corp, pour avoir enfreint la législation relative au blocus économique contre Cuba.

 Le directeur de ce bureau, Adam Szubin, a indiqué dans un communiqué officiel que l’entreprise, fournisseur leader d’équipements et de services dans le secteur de l’énergie, doit payer une amende de 502 000 dollars pour avoir vendu des appareils de prospection pétrolière à des compagnies qui ont des relations commerciales avec Cuba.

L’entreprise doit s’acquitter de son amende auprès du Bureau de l’Industrie et de la sécurité du département du Commerce pour avoir violé les normes d’exportations des Etats-Unis.

Cette mesure a obligé Flouserf Corp à mettre fin à tous ses échanges commerciaux avec des pays soumis aux sanctions unilatérales de Washington.

 

Le blocus des Etats-Unis contre Cuba affecte aussi le sport

Par Reynaldo Henquen

La Havane, 26 septembre (RHC) - Le sport cubain n’échappe pas aux retombées du blocus des Etats-Unis. Les préjudices causés dans ce domaine ont été calculés, au minimum, à 1 546 565 dollars.

 Parmi de nombreux exemples, ont peut évoquer le projet MARABANA/MARACUBA 2010, qui n’a pas pu compter sur la participation d’environ 300 coureurs étasuniens parce que leur pays leur a refusé la permission de voyager à Cuba. Cette interdiction a causé un manque à gagner d’environ 102 000 dollars pour le projet.

Le 17 février 2011, le département du Trésor étasunien a refusé au Club de yachting de Sarasota le permis d’organiser à Cuba la régate Sarasota-La Havane.

Cuba est limitée dans l’achat d’équipements sportifs Louisville, Wilson, Xbat et Rawlings, car ceux-ci sont produits par des sociétés étasuniennes. Comme l’utilisation de beaucoup de ces articles est imposée par les règlements officiels des fédérations internationales, Cuba a dû recourir à des pays tiers pour les acheter, ce qui a causé un préjudice d’environ 450 000 dollars.

Pour la quatrième année consécutive, Cuba ne peut toujours pas acheter l’appareil de chromatographie liquide à haute pression, essentiel au contrôle antidopage. Malgré les démarches réalisées par l’Agence mondiale antidopage, l’administration étasunienne interdit à la société Agilent Technologies de vendre à  Cuba cet appareil.

 

Le blocus étasunien affecte l’industrie minière cubaine

La Havane, 22 septembre  (ACN)  -  Le blocus économique, financier et commercial imposé par les Etats-Unis à Cuba depuis près de cinquante ans affecte l’acquisition de pièces et d’instruments destinés à l’industrie minière nationale à ciel ouvert.

 

La traque et la persécution de personnes et d’entreprises de pays tiers empêchent l’île d’acquérir au Mexique l’acide sulfurique utilisé dans les fabriques de Nickel - Cobalt de la province d’Holguin, une province située à plus de 700 km à l’est de la capitale. 

Les pertes causées pour ce seul concept se calculent en plus de 14 millions de dollars, indique le projet de résolution « Nécessité de mettre fin au blocus économique, financier et commercial des Etats-Unis contre Cuba », qui sera présenté en octobre prochain à l’Assemblée Générale de l’ONU.

Pour remédier ce problème, indique le texte, il a été nécessaire d’importer près de 411 000 tonnes d’acide sulfurique à un prix de fret moyen de 73,66 dollars la tonne, un prix bien supérieur à celui qui avait été obtenu dans d’autres négociations similaires.

Le rapport indique également que les pièces de rechange commandées en Europe pour les compresseurs de l’installation de lixiviation de l’Entreprise du Nickel Comandante René Ramos Latour, de la municipalité de Mayari, dans la province d’Holguin, n’ont finalement pu être achetées car la technologie est étasunienne. Jusqu’à présent, ce problème a entraîné des pertes pour 26 300 dollars, indique le document.

On peut également citer une autre manifestation du caractère agressif et persistent de la politique du gouvernement des Etats-Unis, l’annulation d’un contrat signé avec une société européenne pour l’acquisition de rétro- excavateurs destinés au secteur du nickel.

L’une des pièces de l’engin était un moteur de marque CUMMINS et d’origine étasunienne qu’il est interdit de négocier avec la nation caribéenne.