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Venezuela: La politique internationale du Venezuela confirme son caractère souverain face à la menace de l'empire
traduction Françoise Lopez
Caracas, 17 janvier AVN.- La politique internationale du Venezuela revendique de plus en plus la souveraineté nationale et face à la campagne médiatique internationale organisée depuis l'empire états-unien qui prétend détruire l'image de la démocratie du pays sud-américain, est la plus avancée que le pays ait eu dans sa conception des institutions, a affirmé Roy Chaderton, mandaté par le bureau de la Chancellerie et ex ambassadeur du Venezuela devant l'Organisation des Etats Américains.
Dans une interview accordée à Globovisión ce dimanche, il a souligné parmi les réussites de la politique extérieure vénézuélienne la réalisation du rêve, des idées et de la conception du Libérateur matérialisée, sous la conduite d'Hugo Chávez, par des organismes d'intégration comme l'Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA), Petrocaribe, l'Union des Nations Sud-américaines (UNASUR), la Communauté des Etats Latino-américains et Caribéens (CELAC) entre autres.
En encourageant l'intégration, l'Etat vénézuélien établit des alliances avec des pays comme l'Iran, la Chine et la Russie, alliances que Chaderton a considérée comme "bonnes, garantes de la stabilité institutionnelle du Venezuela et fortifiant notre présence dans le milieu international."
Malgré ce cadre d'intégration, le droite prétend "par un internationalisme pervers, détruire la démocratie vénézuélienne avec le soutien de grandes puissances comme les Etats-Unis (USA), l'Espagne, la Chili, la Colombie et d'autres cachés au Mexique", a-t-il dit.
Il a averti que ceux qui se considèrent comme "des génies des stratégies internationales de l'opposition", "imaginent" isoler la nation pour qu'il reste "une espèce de Venezuela péninsulaire et son seul lien avec l'extérieur serait une prolongation du territoire qui permette à l'opposition de conserver ses liens internationaux et que le gouvernement reste sans effet", ce qui, a-t-il souligné, n'est pas envisagé.
Chaderton a soutenu que même si l'avancée de la droite avec des triomphes électoraux relatifs et temporaires en Argentine et au Venezuela peut être une menace pour les systèmes progressistes dans la région, "il y a assez d'espaces pour se rattraper" et retourner la situation "en rectifiant les erreurs et en confirmant les bonnes réponses".
En ce sens, il a noté que doit primer l'engagement, la démocratie, la justice sociale, la souveraineté pour vaincre les "facteurs de déstabilisation et de destruction des pays comme l'empire, la dictature médiatique, les Etats dociles, les oppositions dociles".
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